Nous avons conçu la mise en lumière du parvis en gardant comme point d’ancrage l’idée de respiration.

Les lignes de la façade se déconstruisent au sol. La densité des points est au maximum au bas de la façade et diminue à son minimum au bout du parvis.

Chacun des pixels au sol est gradable, les différents scénarios aléatoires évoquent un bâtiment en vie.

Le lien entre les espaces extérieurs et le parvis prend forme à travers ces scénarios.

Pour accentuer cette jonction entre l’intérieur et l’extérieur du hall, la lumière est travaillée de manière à s’effacer. Quatre halos de lumière ont été créés, deux à l’intérieur et deux à l’extérieur ce qui rend presque impossible de distinguer l’un de l’autre.