Les jeux d’ombre et de lumière symbolisant la rencontre des antagonismes permettent de révéler ce qui est caché dans l’anarchie apparente de l’installation: un mot, une idée, une pensée, un concept, une image.
Le plafond est parsemé de tiges lumineuses. Celles-ci respirent par groupe. Individuellement, elles animent l’espace.
L’apparition du mot, élément de base du langage, est par sa seule présence le signe d’une conscience à l’oeuvre.
Ici, les mots soulèvent de façon intrinsèque des interrogations élémentaires
WHERE, WHEN, WHY?
La dynamique de l’installation guide le spectateur en un point de convergence spatial et métaphysique: LIFETIME.